Nous sommes arrivés à Port Cros depuis lundi soir vers 20:00 h après une traversée pas vraiment marrante. Il n'y a pas eu
énormément de vent, mais il a fallu beaucoup manuvrer car nous sommes passés quasiment au centre de la dépression, et le vent à fait
le tour du compas. Avec en prime un départ de Bonifacio au louvoyage dans une bonne houle qui nous a accompagnés jusqu'à l'arrivée.
Cécile a été malade tout le long. Il a donc fallu assurer.
Mardi repos dans l'anse de Port Man, juste
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Comme prévu, la météo s'est imposée à notre plan de route. Nous sommes bloqués au port de Bonifacio par le mauvais temps, et ce jusqu'à demain matin. Comme nous remontons vers le nord, nous avons désormais les mêmes systèmes météo qu'en France, et nous avons appris par la radio qu'il négeait en montagne. Brrr.
Ici, grosse pluie hier, et aujourd'hui, vent de hunier au bas ris. On prévoit un départ demain matin à destination de Porquerolles.
On a une fenêtre météo de deux jours pour rallier le continent, et après
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C'est toujours la même histoire en méditerranée. Ou il y en a de trop, ou il n'y en a pas assez. Là, je suis en train de parler du vent. Pour éviter le gros temps du week-end, et être bloqués à Messine par des vents contraires, nous sommes remontés en nord Sardaigne. Seulement voilà, on s'est pris 50 heures de moteur par faute de vent. Cela étant dit, on est quand même très heureux d'être à l'abri.
Le départ de Reggio de Calabre a été un peu sportif
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Le détroit de Messine n'a pas failli à sa réputation. Nous sommes juste à l'entrée sud, arrêtés depuis hier lundi à Reggio de Calabre dans la botte italienne. La mer était encore praticable, mais fatiguante. Et comme on n'est pas là pour en baver, on s'est arrêtés. C'est dommage, car la traversée avait été magnifique, avec une grande partie de la journée sous spi.
Aujourd'hui, les choses se sont détériorées un chouia. Il faut donc patienter jusqu'à demain mercredi que la météo nous promet
agréable. Alors pourquoi
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Nous sommes arrivés à La Valette (capitale de Malte) dimanche matin. Comme de bien entendu, tout était fermé, douanes et police comprises. Et comme ma compréhension de l'anglais reste assez réduite, il nous a fallu un peu de temps pour comprendre qu'il fallait attendre lundi matin pour commencer nos opérations d'immigration. Bizarre, nous sommes en Europe, mais hélas pas dans Shengen. Bref, lundi matin, 3 kms à pied et une heure et demie plus tard, tout était réglé. Il faudra cependant repasser par le même bureau pour la sortie du territoire.
La traversée depuis la Tunisie s'est très bien passée. Nous ne sommes partis
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La météo a été fidèle à ses promesses. Partis par calme plat jeudi matin de Carlo Forte, nous avons fini ce matin au louvoyage dans 30 nuds de vent en plein dans la route.
La vérité, sans le moteur, on y serait encore. Il y avait pourtant de quoi être hésitant, car à 1,85 le litre de gazole en Sardaigne, on réfléchit deux fois avant de faire
le plein.
Ici, les autorités sont très accueillantes, et les opérations administratives se font en toute convivialité à bord du bateau. La police et la douane se déplacent en même temps,
ce qui permet de terminer toutes les opérations en moins d'une demi heure. A condition bien entendu d'être en règle, et d'avoir satisfait aux devoirs de l'étiquette, à savoir,
envoi du pavillon jaune sur bâbord pour la demande de mise en libre pratique (douane), et envoi du pavillon de courtoisie sur tribord (pavillon tunisien en l'occurrence). Merci
l'Europe de nous épargner tous ces tracas.
La date du départ n'a pas encore été fixée. Cela dépendra beaucoup
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